Le parc roulant de la Compagnie du PLM prenant de l'ampleur, la construction de nouveaux ateliers de réparation devint nécessaire dès les années 1870. Les ateliers sis à Nîmes étant devenus exigus et dédiés aux locomotives, la construction d'un nouveau complexe devint nécessaire, situé hors de la ville sur de vastes terrains acquis à cet effet, à proximité de la gare de triage.
A noter que face aux ateliers de Courbessac, de l'autre côté du tirage, se trouvaient les Ateliers Ferroviaires du Gard (privés) qui réalisaient notamment la révision de wagons citernes et qui sont aujourd'hui fermés.
Pour davantage d'informations sur le dépôt de Nîmes, veuillez vous référer au livre Nîmes et le Rail publié par les Editions du Cabri en 2001.