La gare terminus des Chemins de Fer de la Camargue, ligne à voie métrique, se trouvait face à la gare du PLM ; elle a été démolie et la cité Camargue a été construite sur son emplacement.
Le bâtiment voyageurs, après être resté dans un état de semi-abandon depuis 1939 (il semblait avoir conservé un guichet de vente), a été vendu à la fin de la décennie 2000. Bien que bâti à partir d'un type standard du PLM, il a la particularité de posséder pas moins de sept travées, toutes à étage. L'abri de quai lui faisant face semble être encore présent.
La halle à marchandises a été rasée au débit des années 90 mais son soubassement est resté en place.
Outre un évitement, cette gare comportait plusieurs voies de débord, dont certaines étaient destinées aux silos embranchés en sortie à l'Ouest.
Un atelier de réparation de wagons citernes (probablement utilisés pour le transport de vin) était embranché au Sud Ouest de la gare, possédant de nombreuses voies de garage reliées par des ponts transbordeurs ; il semble avoir été reconverti dans les années 50 en voyant ses installations largement remaniées et simplifiées, puis ferma à la fin des années 60. A la même époque, un entrepôt a été construit à proximité, lui aussi étant raccordé au rail. Tous ces équipements ont aujourd'hui disparu.
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