Apparues en même temps que les voitures K1 et, comme elles, premières à avoir une caisse métallique, ces voitures sont destinées aux relations à arrêts plus fréquents et ont un aménagement en salles à couloir central. Construites de 1935 à 1937, ces voitures sont restées en service jusqu'en 1984 pour la plupart, celles adaptées à la réversibilité durant deux années de plus.
Voitures mixtes, ayant 40 places de première classe et 40 autres places de deuxième classe.
Voitures de deuxième classe, 94 places.
Voitures ayant 77 places de seconde classe et un fourgon. Pendant les années 60, certaines ont été transformées en voitures pilotes pour fonctionner en rames réversibles avec des locomotives Diesel.
Dérivées des voitures M1 mais plus modernes (fabrication de 1958 à 1960).
Voitures de première classe (68 places)
Voitures mixtes, avec 36 places de première et 44 de seconde classe. 22 exemplaires furent équipés pour la réversibilité.
Voitures de deuxième classe, 104 places. 45 unités ont été adaptées pour fonctionner en réversibilité.
Voitures comportant une salle de 74 places de seconde classe ainsi qu'un compartiment fourgon.
Ces voitures de seconde classe (74 places) comportent un fourgon et une cabine de conduite. 13 unités sont utilisables en traction Diesel, les neuf autres en traction électrique.
Voitures de seconde classe ayant un fourgon et un espace de restauration.
L'utilisation de ces voitures s'est terminée en décembre 2004, certaines étant louées depuis le milieu des années 90 aux chemins de fer néerlandais (NS).
D'un aspect proche de celui des voitures M2, ces voitures sont légèrement plus longues et ont été fabriquées en 1960 et 1961.
Voitures comportant à la fois un fourgon, une salle de première classe et une autre de seconde classe.
Voitures de seconde classe.
Construites de 1979 à 1984, ces voitures sont destinées aux relations de service intérieur et sont équipées des mêmes bogies Y32 que les voitures Corail de la SNCF. Limitées à 160 km/h et dépourvues de climatisation, elles sont maintenant cantonnées aux heures de pointe.
Voitures de première classe, 72 places dans une seule grande salle (accès aux extrémités).
Voiture de première classe comportant un compartiment fourgon à une extrémité, la capacité tombe à 56 places (accès toujours aux extrémités).
Dérivant des précédentes, ces voitures comportent une cabine de conduite côté fourgon, qui est légèrement reculé, d'où une capacité qui tombe à 48 places. Ces voitures sont utilisables avec des locomotives des types 12, 21 et 27.
Voitures de seconde classe, capacité de 104 places, réparties en trois salles séparées par les plateformes d'accès. Les sièges sont disposés en 3+2 par rapport au couloir central.
Voitures de seconde classe comportant un compartiment fourgon à la place d'une salle d'extrémité et d'une plateforme d'accès ; capacité diminuée à 64 places.
Construites en 1984 et 1985, ces premières voitures à deux niveaux de la SNCB sont destinées aux relations les plus chargées.
Voitures pilotes de seconde classe, disposant d'un compartiment fourgon côté cabine de conduite. La capacité est de 118 places.
Voitures aménagées en première classe, avec pas moins de 142 places.
Voitures de seconde classe, comportant 146 places.
Très critiquées pour leur aménagement spartiate et leur capacité trop élevée, ces voitures subissent une rénovation depuis 2009 ; les types ne changent pas mais la capacité diminue fortement et la partie électrique est revue.
A deux niveaux, ces voitures sont destinées aux relations grandes lignes les plus fréquentées.
Voitures intégralement de première classe, capacité : 104 places.
Voitures intermédiaires de seconde classe, capacité : 140 places.
Voitures de seconde classe (103 places) avec compartiment fourgon. A noter qu'initialement, ces voitures étaient mixtes première et seconde classe, mais elles ont été déclassées lors de l'interdiction de fumer à bord des trains de la SNCB.
Voitures pilotes de seconde classe (136 places).